Un coup de maître(sse) pour démarrer. Delphine Calcaterra nous raconte sa recette de la performance.

Inscrite en tant que consultante du réseau Prodemial, depuis le 15 février 2017 seulement, Delphine n’arrête pas de faire parler d’elle en termes élogieux. En effet, elle nous a tous surpris par ses résultats spectaculaires. Pour tous ceux qui consultent régulièrement les classements des performances sur notre extranet MyProdémial, ils ont vu que Delphine s’est imposée dans les premières lignes, très rapidement. Elle est La Gagnante dans la catégorie « Meilleure performance de nouveau consultant », mais elle rentre également dans la « cour des grands », en étant 12ème, dans le Top 20 du réseau !

Nous avons souhaité lui poser quelques questions pour mieux la connaître, mais également pour lui permettre de partager son énergie débordante et sa motivation sans faille avec l’ensemble des consultants Prodemial.

(Interview recueillie par Irina Chausson, Vice-Présidente de Finzzle groupe)

  1. I.C. 1. Delphine, comment as-tu connu l’opportunité Prodemial ?

D.C. Salariée, cadre-dirigeante d’entreprise, j’ai été « remerciée »,  après plus de 15 ans de « bons et loyaux services »…, c’est la formule consacrée, je crois ! Plus sérieusement, je me suis retrouvée dans une situation difficile et je n’avais que quelques mois pour me retourner. Pas simple. J’ai alors naturellement réactivé mon réseau, afin de retrouver rapidement un emploi. Marina Chicheportiche faisait partie de mes fournisseurs (dans le cadre de mon dernier poste) et nous avions toujours entretenu de bonnes relations. C’est tout naturellement que j’ai repris attache avec elle. Rapidement, elle m’a proposé de découvrir l’opportunité professionnelle de Prodémial. A « l’époque », il y avait encore la Formation Initiale / Atelier de Démarrage (FI-AD) que j’ai suivi sans tarder et avec beaucoup d’intérêt. Et j’ai eu aussi le plaisir d’assister au Forum du Patrimoine, à Monaco (février 2017), avant même de signer mes conventions.

J’ai d’abord été méfiante par rapport à la bienveillance et à l’ambiance, au sein de l’équipe, ambiance que je qualifiais de « bisounours » et qui était non seulement aux antipodes de ce que j’avais pu connaitre avant, mais qui aussi semblait « trop belle pour être vraie ». Ce qui a été déterminant dans ma prise de décision, c’est la confiance en ma marraine Marina, le sérieux et l’ancienneté du groupe (25 ans d’existence en 2017) et les perspectives de croissance dans ce métier alliant la gestion de patrimoine au marketing relationnel.

  • I.C. 2. Es-tu contente de tes résultats, toi, compétitrice dans l’âme ? C’était bien cet objectif que tu t’étais fixé en début d’année ?

D.C. C’était surtout ma situation  personnelle du moment qui me contraignait à me fixer des objectifs plutôt ambitieux.

Quoi qu’il en soit, ambitieux ou pas, les objectifs que l’on se fixe doivent être clairs et datés, c’est fondamental. Je m’étais fixé 4 500K€ (de volume d’affaires) sur l’exercice exceptionnel de 19 mois. En volume acté, il me manquait 300K€ pour le réaliser. A côté de cela en VA (acté) + VA (encours), j’ai fini à 5 100K€…

Pour obtenir ces résultats, j’ai fait confiance à mes pairs et j’ai « appliqué à la lettre la recette de la tarte aux pommes » 😉[1]Malgré mon égo, un parcours pro assez réussi et mon demi-siècle, je pense avoir fait montre d’humilité et ai démarré le métier comme absolument n’importe qui. J’ai suivi tous les conseils prodigués par ma marraine et ma lignée, respecté les méthodes, process et autres et, ça a fonctionné. J’ai eu la chance de pouvoir commencer à temps plein. Très rapidement, j’ai obtenu toutes mes habilitations, tout en allant sur le terrain et en me formant parallèlement.

Dès fin 2017, je ne travaille plus que sur la recommandation de mes clients et/ou prospects satisfaits et tout début 2018, je décroche le premier « Graal » : ma qualification de Manager[2].

J’ai surfé sur cette dynamique positive pour passer Major, puis Expert[3] ; mais au-delà des titres et des rémunérations associées, j’ai vite pris conscience que ce métier me changeait, me faisait évoluer et, très sincèrement, m’apaisait et, je pense même, me rendait meilleure.

  • I.C. 3. Comment t’es-tu organisée pour traiter autant de dossiers dans l’année, avec autant d’efficacité ?

D.C. On me reconnaît une très grande capacité de travail. De par mon parcours professionnel, j’ai, entre autres, eu en charge l’organisation ou la réorganisation de services ou d’entreprises, que ce soit en verticalité ou en transverse. J’ai très vite « industrialisé » mes process, mis en place des outils de contrôle croisé pour limiter les erreurs, et … beaucoup travaillé. Il n’y a pas de secret ! Mais, dans ce métier, comme on le dit souvent, nous sommes dans une « méritocratie », et, le fait est que plus on travaille, plus on sème, plus on récolte !

  • I.C. 4. Justement, en parlant d’expérience, tu viens de l’immobilier ? Comment as-tu abordé les placements financiers pour rapidement proposer aux investisseurs une offre globale ?

D.C. En effet, mon dernier poste était dans le secteur de l’immobilier, mais que l’ancien ! J’ai dû donc commencer par apprendre et comprendre ce qu’était le neuf et les différents dispositifs associés.

Les formations habilitantes apportent de très bonnes bases, solides, et ouvrent l’esprit quant au champ des possibles de toutes les solutions que l’on peut apporter à nos investisseurs. J’ai la chance d’appartenir à une lignée qui travaille avec absolument toutes les solutions d’investissement que les sociétés du groupe proposent, mais qui aussi accompagne et forme ses filleuls (les nouveaux consultants), en termes de technique, d’approche clients et d’appropriation des méthodes.

Je suis extrêmement attachée à mes investisseurs/clients, et je tiens à cet ordre ! Je leur donne énormément : du temps, de l’écoute, de l’accompagnement, et je  reste convaincue que l’immobilier seul ne peut pas répondre à tous leurs besoins ni objectifs.

Le groupe (Finzzle groupe) propose une très belle gamme de solutions d’investissement qui me permet d’offrir un accompagnement personnalisé et sur-mesure pour chaque investisseur. C’est une vraie richesse, mais aussi une force ‘terrible’, face à une pseudo-concurrence qui ne propose que des solutions génériques et pas toujours qualitatives. En fait, j’en arrive à me demander, si nous avons vraiment une concurrence (rires)

  • I.C. 5. Est-ce que tu comptes battre ton propre record ? Quelle est ton ambition dans cet aspect du métier.

D.C. Évidemment ! Sinon je faillirais à ma « réputation » et surtout les records, ne sont-ils pas faits pour être battus ?!

Plus sérieusement, je souhaite maintenir mon volume d’affaires personnel à 3 000K€, annuellement. Maintenant que ce volume est stabilisé (même s’il ne faut rien lâcher et ne jamais considérer que c’est un acquis !), je veux pérenniser mon entreprise, gagner en expertise technique (chacun son crédo !) et développer une équipe.

  • I.C. 6. Justement, c’était la dernière question : est-ce que l’expérience des autres managers te donne envie de développer une équipe ? Comment se partager, selon toi, entre ses propres dossiers et l’accompagnement des nouveaux consultants ? Sur qui et sur quoi compteras-tu pour t’aider dans le développement ?

D.C. Ah ah ! Les grands esprits se rencontrent ! Lorsque j’ai démarré, compte tenu de beaucoup de paramètres et contraintes, je devais d’abord m’assurer des revenus stables, avec mon activité personnelle. Réfractaire au début au développement d’équipe, j’ai donc traîné des pieds à le faire, et en plus je l’ai mal fait ! J’étais réfractaire, car échaudée par un passé de manager dans le monde salarié, et ayant fait à tort le parallèle avec notre métier.

J’ai certes perdu du temps, en même temps, je n’aurais jamais pu tout mener de front…

Depuis le début de l’année (2019), je développe, j’invite et j’accompagne des filleuls dans ce métier. Je duplique, je m’inspire, j’écoute, je regarde et … j’apprends. Le métier de parrain/marraine s’apprend tout autant que celui de consultant patrimonial (CGP). Selon moi, c’est une grosse part de savoir-être, bien plus que de savoir-faire, mais j’avance.

J’ai donc revu mes objectifs, afin d’avoir du temps à consacrer à l’accompagnement et j’ai un assistant à 2/5ème qui me soulage beaucoup, en termes de tâches administratives. Ma vision de ce deuxième aspect du métier (le développement) ? Très sincèrement, elle n’est pas encore complètement claire et arrêtée. J’y travaille. Je regarde des vidéos de Tony Robbins, par exemple, lis pas mal sur les mêmes thèmes (c’est pour moi un sacré effort de lâcher mes thrillers !…) et j’avance, pas à pas.

J’ai plusieurs convictions : le bien-fondé et les vertus à développer une équipe ; le développement qui ne pourra s’effectuer que dans la duplication et le respect des méthodes ;  la certitude que je peux compter sur ma lignée pour m’accompagner dans cette nouvelle phase.

Je n’ai pas encore fixé la date où je serai Manager-Galaxie[4], mais ce sera fait avant la fin de l’année (la datation de l’objectif hein !!! pas le fait d’être Galaxie)… quoi que… (je plaisante, rires).

[1] Dans la culture du réseau Prodémial, la « recette de la tarte aux pommes » est un classique du principe de la duplication : il s’agit d’abord de dupliquer, de respecter ce qu’on vous apprend, avant d’inventer autre chose.

[2] Qualification spécifique au système de reconnaissance et de rémunération du réseau Prodémial.

[3] Titres spécifiques au système de reconnaissance et de rémunération du réseau Prodémial.

[4] Qualification suprême, spécifique au système de reconnaissance et de rémunération du réseau Prodémial.