Alors que les rendements des livrets d’épargne réglementés ou encore des fonds euro n’ont jamais été aussi bas, le Bitcoin a enchainé les records en 2020 pour atteindre un nouveau sommet le 15 avril dernier à 64 912 $ (près de 10 fois supérieur à sa valorisation un an auparavant).
Dès lors, pas étonnant que la cryptomonnaie cristallise de plus en plus d’intérêt auprès du grand public, à tel point qu’un nouvel acteur, une Fintech française créée en 2020, va jusqu’à proposer aujourd’hui d’investir dans ce qu’elle appelle un « plan d’épargne Bitcoin ».
A ce jour 3% des français ont déjà investi dans les cryptomonnaies et 14% aimeraient le faire selon une enquête réalisée par l’Ifop.
Il faut dire que le fait que l’emblématique et fantasque fondateur de Tesla, Elon Musk, l’entrepreneur le plus riche du monde, ait décidé d’investir 1,5 Milliards de dollars (de la trésorerie de sa société) en bitcoins, au mois de février, en a sans doute décomplexé plus d’un !
Mais peut-on réellement parler d’investissement ou d’épargne lorsque le Bitcoin lui-même n’a pas de cours officiel et qu’il repose sur un marché non régulé ?
Sujet décrypté par Charles Salvage, Directeur Général de Prodémial, au travers d’un dossier spécial en 3 épisodes.
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