Il y a dans toute communauté des personnalités qui sont emblématiques de son état d’esprit et de ses valeurs. On les appelle parfois des « piliers ».
Françoise Delaune est un pilier dans le réseau Prodemial. Un être charismatique, une professionnelle performante d’une régularité sans faille, une personne incontournable. De la hauteur de ses 15 ans d’expérience avec le Finzzle groupe, Françoise connaît bien notre histoire – elle a participé à son écriture. Nos succès, nos moments de difficulté, notre renouveau, elle les a vécus avec nous dans sa propre expérience professionnelle.
Retrouvons son témoignage rempli d’enthousiasme, de conviction et d’humour pour notre opportunité professionnelle et pour les gens qui la construisent tous les jours, dans leur travail.
- Françoise, tu es « liée » à Finzzle groupe depuis novembre 2002. Quelle belle ancienneté ! Peut-on savoir comment as-tu commencé ?
J’ai été approchée en 2002 par Manuel C. rencontré lors de mon voyage de noces, 15 ans auparavant, d’abord en tant que cliente. Pour la petite histoire, mon mari et moi-même n’avions d’ailleurs pas signé. Puis, rapidement, Manuel C. a proposé à mon mari de rejoindre le Groupe. Etant chef d’entreprise, Manuel décelait certainement en lui un plus fort potentiel qu’en moi…
A l’époque mon mari a signé une convention de 4 pages, suite à notre première formation initiale. Pour ma part je l’accompagnais juste pour le motiver. Pourtant, c’est moi qui ai fait les formations suivantes et qui embêtais tout le monde pour comprendre. J’ai alors fait des kilomètres pour rejoindre un conseiller qui pouvait m’expliquer le métier, ses méthodes et ses règles, car il n’y avait pas à l’époque cette belle structure [Prodémial, ndr] qui nous permet à tous de nous former aujourd’hui…
Puis j’ai demandé d’être moi-même consultante (à l’époque, on s’appelait tous des conseillers), c’est-à-dire, de prendre la place de mon mari. Mon parrain m’a avoué plus tard qu’il pensait à ce moment-là avoir tout perdu avec nous deux…. Pourtant j’ai été Experte [qualification de performance suprême dans le PMR, ndr.] dès ma première année, et fière de l’être depuis tous les ans ! C’est mon propre challenge !
Moralité, il ne faut pas se fier aux apparences mais plutôt à la persévérance d’un conseiller qui se bat pour comprendre et pour apprendre, même si au départ il ne vient pas de ce milieu.
Jacques C., un autre manager Galaxie [qualification suprême de développement dans le PMR, ndr] de l’époque, m’a demandé un jour ce que je ne comprenais pas dans notre métier et m’a conseillé de former les autres sur ces sujets. J’ai donc dû travailler plus pour être en capacité de transmettre car il fallait parfaitement comprendre tous les tenants et aboutissants pour former et grâce à cela j’ai appris 10 fois plus vite !
- Françoise, autant de temps d’engagement dans un même métier, ce n’est pas un hasard ? Qu’est-ce qui te plaît le plus dans notre opportunité professionnelle : le conseil patrimonial ? le marketing relationnel ?
Justement ce qui me plait le plus dans ce métier c’est que je n’ai pas besoin de choisir entre le conseil patrimonial et le marketing relationnel. Autrement dit, ce que j’aime dans ce métier c’est la diversification : travailler au bureau en toute liberté, me former mais aussi former les autres et bien sûr aller voir les investisseurs pour leur proposer des solutions adaptées à leurs problématiques. Dans notre travail il n’y a pas de journée type, pas de monotonie et c’est ce qui en fait tout l’intérêt. C’est pour ces raisons que je fais ce métier avec autant d’engagement depuis autant d’années.
- Tu as par le passé développé une équipe jusqu’à être manager Galaxie. Et tu étais un manager impliqué et proche de tes équipes. Aujourd’hui, tu essaies de retrouver ta fibre de développeur, même si tu as dû pâtir de l’absence d’un soutien de tes propres managers au cours de ces dernières années. Quelle est pour toi la difficulté majeure dans le démarrage des nouveaux ?
J’ai souhaité non pas être manager-Galaxie mais former mon équipe, afin d’avoir ma propre famille professionnelle, donner aux autres, leur permettre de se réaliser à leur tour. C’est ainsi que l’on devient manager-Galaxie, naturellement.
Pourquoi je n’ai plus d’équipe aujourd’hui ? Et bien je me pose la question, je propose, je forme, j’accompagne mais rien ne se passe… Bien sûr que c’est plus difficile maintenant dans ce contexte réglementaire de plus en plus complexe pour le démarrage des nouveaux consultants. En prenant un peu de recul, je crois que je n’ai jamais su rendre mes nouveaux consultants suffisamment autonomes.
Ce qui a changé par apport à avant ? D’abord le suivi de mes investisseurs me prenait moins de temps à l’époque. Il y avait aussi les formations régulières en région parisienne que nous proposions et que je co-animais avec d’autres managers. Elles ont constitué un contexte propice au développement de mon équipe.
Aujourd’hui je me dis qu’il me faut juste emprunter le même chemin que j’ai déjà pris, pour refaire ce que j’ai déjà fait, avec l’accompagnement de mes pairs et le développement sera à nouveau là.
- Beaucoup de gens font notre métier pour des raisons matérielles, pour de la reconnaissance, pour du pouvoir aussi et il n’y a rien à leur reprocher, car c’est dans la nature humaine. Quant à toi, on a souvent l’impression que ta motivation première c’est en quelque sorte ton besoin d’ « être connectée aux autres », de ne pas être isolée dans ton travail, de construire ton cadre de vie et ton cadre professionnel en harmonie ? Ton métier, c’est ta vie en quelque sorte ?
Mince alors, je suis cernée… Mes enfants, ma famille, mes amis me disent souvent que mon travail, en effet, c’est ma vie. Je me surprends même, l’été lorsqu’il y a moins d’activité, à vérifier que mon ordinateur fonctionne bien et à tourner en rond car je ne sais plus quoi faire d’autre, tellement j’aime ce que je fais professionnellement.
J’ai appris également qu’il est tellement agréable de faire un métier que l’on aime.
Avant lorsque je rentrais de vacances, dans mon ancienne vie, j’avais une angoisse de reprendre mon boulot. Je me suis toujours étonnée de n’en avoir jamais eu depuis que je travaille avec Finzzle groupe ! Voire même, comme un cahier de vacances, j’emmène avec moi mon ordinateur et quelques documents, au cas où je ferais une rencontre pro… !
Je suis passionnée par mon métier, j’aime me former, j’aime former les autres, j’aime mes clients, j’aime renseigner les autres conseillers lorsqu’ils m’appellent… Vous l’aurez bien compris, je ne suis pas près de prendre ma retraite !
- Excellente performeuse, chaque année, tu fais partie des gagnants de tous les challenges. On devrait d’ailleurs instaurer pour des consultants comme toi un insigne à part de « Globe-Trotter Prodémial » ! Quel est le voyage qui t’a le plus marquée en 15 ans ?
Je retiens que j’ai eu l’opportunité de parcourir le monde à travers ces challenges. En effet, j’ai eu la chance de faire le toit du monde (Everest), le bout du monde (Ushuaïa) ou le reste du monde… Prodemial et les sociétés Stellium arrivent toujours à me motiver et me surprendre par des destinations de rêves.
Le plus important ce n’est pas la destination mais les souvenirs que l’on se crée et que l’on partage ensuite : le polo à dos d’éléphants au Rajasthan, les diners dans des lieux sacrés au Cambodge comme les temples Angkor, les soirées sur les catamarans en Corse, les 4×4 dans les dunes de Dubaï, les diners sous la pluie (et sous les parapluies) face au Taj Mahal, les buggys au Brésil, les diners aux chandelles sur les plages paradisiaques du monde, et tant d’autres souvenirs…
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